Comment gagnes-tu ta vie ?
Voyager sans argent n’a jamais été mon objectif, ni ma tasse de thé ! Cependant, j’aime énormément voyager à petit budget. À tout petit budget même, et au plus proche de la nature. Le voyage à vélo permet ces deux choses !
Le secret de ma longévité financière réside dans la réduction du budget au maximum. Je vis avec moins de 3000€ / an ! Oui, par an ! Sans logement, sans facture, sans voiture, sans assurance et sans essence ! Vous comprenez !?
Je travaille de manière acharnée depuis l’âge de 17 ans (ce qui ne me rajeunit pas ^^). Cela m’a permit, en 2011, de tout plaquer et de partir vivre en Australie avec des économies. Par la suite, sur les routes d’Europe, à vélo, j’ai fait pas mal de petits boulots en tout genre. Devenu voyageur-écrivain en 2020, il m’a fallu de nombreuses années pour réussir à en vivre. Depuis 2024 seulement, je réussis, en tenant mon budget très bas, à vivre de la vente de mes livres, c’est-à-dire voyager à vélo uniquement grâce à mes livres (dont l’écriture et la diffusion représentent également un travail colossal). Je parviens désormais à me passer des petits boulots que je faisais auparavant !
Allier mes deux passions, le voyage à vélo et l’écriture, est devenu une évidence. Et grâce à mes récits de voyage, je suis parvenu à créer un cercle vertueux : mes livres alimentent désormais mes voyages. Et les futurs voyages alimenteront un jour de nouveaux récits ! (pour plus de détails sur mon budget et la manière dont je procédais avant cela, visitez mon ancien blog)
Un livre acheté, c’est une journée de voyage que vous m’offrez…
15% de réduction automatique
Dans quel ordre lire mes ouvrages !?
FUITE a été écrit avant les deux autres, mais il est chronologiquement postérieur dans mon histoire personnelle.
Le virage et (Re)naissance d’un nomade, qui sont sortis en même temps, sont à la fois liés et indépendants. En effet, ils ont été conçus de manière à ce que chacune des histoires puisse être lue dans un sens ou dans l’autre, et être comprise sans le besoin de l’autre, comme c’est le cas pour FUITE. Mais Le virage et (Re)naissance d’un nomade resteront à jamais intimement liés, et se complètent. Les histoires ne traitent pas les mêmes sujets.
Le virage est très personnel. (Re)naissance d’un nomade aussi, avec une aventure cyclopédique en plus. Ces deux ouvrages sont un bond dans le passé vers mes origines nomades, écrits deux ans après la publication de FUITE, pour répondre aux questions que mes lecteurs m’ont posé suite à la lecture de FUITE. Le virage se passe juste avant (Re)naissance d’un nomade.
Les trois récits peuvent donc se lire dans n’importe quel sens : cela laisse le choix de s’adapter à vos humeurs du moment, et il est tout aussi intéressant de commencer par le début que par la fin, à mon avis. Les questions que vous vous poserez et les émotions que vous vivrez viendront juste différemment selon l’ordre choisi…
Certains, un grand nombre, préfèrent lire dans le sens de publication : FUITE, Le virage, puis (Re)naissance d’un nomade, ce qui permet de suivre la progression de ma plume.
D’autres, moins nombreux, préfèrent le sens chronologique : Le virage, (Re)naissance d’un nomade, puis FUITE, ce qui permet de suivre la progression de mon histoire, de ma personnalité, de mes pensées et de mon expérience grandissante.
Mais on peut aussi bien lire (Re)naissance d’un nomade en premier (celui que je conseille en général à ceux qui ne veulent en prendre qu’un), puis s’intéresser à FUITE et Le virage, ou l’inverse pour ces deux derniers…
Libre à vous donc…
Comment fais-tu pour te prendre en photo ?
Avec un trépied et l’option de retardateur tout simplement ! Et parfois, il me faut de nombreux essais. Ce qui amène de temps en temps à faire quelques kilomètres de plus dans la journée… Le pire, c’est lorsque je fais cela en montagne : je monte et je descends à plusieurs reprises pour obtenir le cliché désiré !
Et combien de kilomètres par jour fais-tu ?
En moyenne : 50 kilomètres ! J’aime diviser mes journées en 3 x 17 km. Entre chaque « run », je mange. Et cette distance me satisfait. Ma vie de nomade n’est pas une course aux kilomètres ni une tentative de record du monde. Il m’arrive de faire 4 km en une journée en cas de problème. Et mon « record » est de 160 km en une journée, après avoir longtemps plafonné à 122 km.