FUITE

Arnaud, de Belgique :

Les mots sont frais, vivants, émouvants, et Bastien écrit avec humilité, sans pour autant ménager le monde qui nous entoure de ses réflexions nomades. Parfois, tendre, joyeux, ému, déçu, dégoûté ou même un peu révolté sans pour autant négliger l’humanisme et le pacifisme qui le caractérise.
A lire sans hésitation. Livraison rapide et soignée.
Un livre à offrir, un livre à s’offrir.

Pascal, de Meurthe-et-Moselle :

Encore un récit de voyage à vélo ! Oui, mais…
Celui-ci est plein de fraicheur (sans jeu de mots…), sans être léger, de profondeur sans être lourd. S’il y est question de rapports, il ne s’agit pas de cassette. Si la liberté s’y lit à chaque page, on y trouve aussi les tarifs. Et si la roue tourne…
Bref, un récit vivant, humaniste, sans concessions, juste. Un éclat de l’auteur dans un coin du miroir. Une tranche de vie qui se déguste goulument en 152 cuillerées, presque une bouchée. Et on a bien envie de prolonger le voyage, par ses propres moyens, ou en lisant la suite…
Merci Bastien, tu sembles avoir une bonne boussole, et je te souhaite de n’avoir jamais à quitter ta voie intérieure.

Amreï, du Gard :

Une véritable pépite écrite par un vrai nomade à vélo doté d’un caractère hors du commun ! On vit les aventures avec lui, on a l’impression de rouler à ses côtés, on souffre sous les deluges de l’Irlande, dans les côtes de l’Angleterre, on rit autour d’une bonne bière le soir, on se repose avec lui dans une jolie cabane d’enfants la nuit…. et on a l’impression de quitter un bon ami lorsqu’on tourne la dernière page, lorsqu’on savoure les dernières lignes et qu’on le referme avec regret.

Emmanuel, de Hérault :

“Fuite” est une aventure en solitaire qui se lit comme une fresque romanesque.
En Europe, Bastien a connu pendant des kilomètres à vélo, le calme absolu, la tempête. Il a traversé des forêts, des villes, des campagnes. Il a longé des fleuves et escaladé des montagnes. Au fil des jours, avec les rencontres, il éprouve la joie, la déception, la tristesse, l’euphorie et le désespoir. Un cheminement dont l’errance orientée permet de savourer la finalité de la quête. Une raison d’être qui confine au suprême lorsque l’objectif transcende les émotions.
Bastien brave le temps et les imprévus pour éprouver les capacités humaines d’adaptation. Et puis soudain, en ces temps de confinement, au passage d’une bruine d’eau et de l’automne, un arc-en-ciel fugitif ou un rayon de soleil déchire les nuages pour que l’on pose ses yeux sur ce livre. Une parenthèse bienvenue avant des jours meilleurs…
Afin d’oublier et fuir quelques heures cet isolement, je conseillerais ce livre pour un grand moment d’évasion.

Martin, de Meurthe-et-Moselle :

Dès la première page, nous voici pendus au livre de Bastien comme à bien failli l’être à son cou ce Rottweiler rappelé à temps par son maître. De là, nous voici à livrer bataille contre les éléments en furie. L’eau d’abord, le vent ensuite et pour finir les deux mêlés. Au milieu toutefois, des îlots de chaleur entretenus par des hommes et des femmes auxquels que l’on aurait bien envie de serrer dans nos bras.
Mais ce récit, celui d’un nomade sans concession, ne se termine pas sur une dernière anecdote. Non, et au moment où on s’y attend le moins, Bastien s’en vient à nous bousculer, à nous donner à réfléchir sur une actualité brûlante et même décapante, au milieu de la tourmente.