Le virage
17,00 €
16,15 €
Tout plaquer : beaucoup en rêvent, peu le font.
Bastien, lui, saute le pas à vingt-sept ans mais rien ne se passe comme prévu. En Australie, un grave accident de voiture le contraint à l’immobilité et à un voyage intérieur, ce qui va le conforter dans sa métamorphose, à tout jamais…
Son autobiographie traumatique, intime et émouvante, à la fois sombre et lumineuse, est un message d’espoir, une apologie de la résilience et du dépassement de soi : un hymne à la Vie.
Format : 14,8 x 21 cm
Broché 224 pages
Imprimé en France
Chez ROTO Normandie
Sur du papier PEFC
Récit de « voyage » (sans vélo)
et autobiographique
Auteur : Bastien Delesalle
Éditions NO MAD’S LAND
ISBN : 978-2-9574709-1-4
Poids livre : 315 grammes
Ce voyage immobile a clairement rejoint le top 3 de mes récits de voyage préférés. (Arnaud)
Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas lu un livre de 224 pages en moins de 24h ; depuis Harry Potter en fait ! (Esteban)
Je reste abasourdie : c’est un récit impressionnant de vérité, de courage, de rage de vivre, de liberté… (Evelyne)
Le virage s’adapterait bien au cinéma : un mélange entre « Into the Wild » et « Patients », de Grand Corps Malade. (Laétitia)
J’ai lu (Re)naissance d’un nomade en premier. Cela m’a donné envie de lire Le virage, dans lequel j’ai découvert une histoire riche et réelle qui fait réfléchir sur soi, le rapport à son corps, etc. (Line)
Camille, de l’Orne :
C’est un livre écrit avec les tripes, le coeur et l’esprit, et j’ai retrouvé le côté brillant de FUITE. Comme j’avais eu la sensation de finir trempée en lisant son premier opus, j’ai souffert pour Bastien à travers Le virage, son accident, l’univers hospitalier et sa convalescence. J’ai compris d’où vient sa détermination à VIVRE.
Aurelle, d’Ariège :
Un beau récit qui m’a bien pris aux tripes et qui m’a fait voyager dans des mondes certes moins exotiques que les images de la télé, mais plus réels. Comme Bastien, je me suis évadée et j’ai pleuré. Il a réussi à me faire sourire et j’ai bien ressenti l’ennui, ce qui est performance d’écriture puisque c’est exactement ce qu’il veut faire passer au moment où il le vit lui aussi ! Jolie prouesse artistique et littéraire d’avoir tenu en haleine sur un sujet aussi personnel. Le virage s’avale comme on avale les kilomètres sur les routes de Patagonie (pour l’Australie je ne peux pas dire, je n’y suis jamais allée). Merci d’avoir osé !
Emmanuelle, du Loir-et-Cher :
J’ai été touchée, bouleversée même, alors que je connaissais déjà Bastien avant de le lire. À travers Le virage, on vit à la perfection les épreuves qu’il a traversées, et j’ai pu prendre toute la mesure de son expérience. Aussi bien par l’aspect douloureux, physique et mental, que par la profondeur des pensées et des réflexions qui l’ont fait se transformer.
Laurent, de Nantes :
Ce récit, qui a du fond et de la forme, m’a touché parce qu’il a un caractère véritablement personnel et sincère. On y retrouve la générosité qui m’avait tant attiré dans FUITE. Bastien nous conte son expérience terriblement traumatique et son infinie résilience, et il envoie un message d’espoir à tous ceux qui traversent des difficultés dans la vie, qu’elles soient médicales ou familiales…
Josiane, du Val de Loire :
J’ai lu Le virage comme un roman. C’est un livre optimiste. Et Bastien écrit bien. Il m’a donné envie de me procurer (Re)naissance d’un nomade.
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Lire un extrait – ©Bastien Delesalle
On en parle aussi sur les blogs de Pierre avec En roue libre, et de Laura, dite La Cyclonomade.